La couverture glisse, sont cuir transpire d’odeur différente,
Ma main lentement le dépoussière, je le cale sur mes genoux,
Je ferme les yeux et le feuillète, lentement,
L’histoire se passe en février 1974,
Le 8 exactement, naissance de son auteur,
Premier crie pousser par cet enfant,
Enfance heureuse entre parents, et frère,
Juste les marques de tendresse manquante,
Elle grandira solitaire, pour ne pas laisser la détresse grandir en elle,
L’adolescence un panier de crabe ou se chercher deviens une question,
Grandir essayer de survivre dans se monde égoïste,
L’âge adulte le plus critique,
Celui ou on se rend compte, que les contes n’existe pas,
Ou l’homme est individualiste, personnel,
Et que face à la détresse de l’autre fuir est sa plus belle réponse,
Et puis se battre chaque jour encore plus seul, face à la maladie,
Face aux cicatrices du temps laisser en soit comme une lame de couteau,
Qui court sur la peau et s’enfonce parfois à certains endroits,
Et puis quand on pense que le noir sera notre seul couleur,
Un être entre dans votre vie, chamboule vos certitudes,
Mais cela est le deuxième tom de ma vie, en court d’écriture
La main tremblante je ferme le livre de ma première vie
Les larmes on couler, pas de tristesse, de l’amour,
Sur la dernière de ses pages aujourd’hui j’ai écrit le mot fin,
Je le range dans un coin,
Je lève les yeux mon regard croise le tiens,
Et mon cœur se sent envahis par tout l’amour que tu dépose sur moi,
Aujourd’hui j’ai fermé une vie, et ouverte une nouvelle
Avec toi a mes coter….
A toi infiniment je t’aime.
Commentaires
bonjour
sublima
j ai vraiment aimé te lire
l amour efface beaucoup de maux et grace a elle on peut ecrire ainsi des mots pour eloigner tous ses maux merci
bisouxxx tendresse & belle journee a bientot