Assise dans le grand chapiteau,
Je regarde le grand cirque de la vie,
Ou des clowns de pacotille s’éreintent à nous faire rire,
Mais mon regard ne peut déviez de lui,
Clown triste, au regard bleu désarroi,
Toucher en plein cœur par ses larmes refoulées,
La foule applaudis, acrobates et animaux,
Et la dans un coin désert, de cette piste aux étoiles,
Il erre comme un fantôme,
Rejouant l’acte ultime d’une vie d’errance,