J’ai trainée trop longtemps le boulet de mes peines,
Jusqu'à ne plus me rappeler des joies passées,
Je suis partie en cendre, envolée mon innocence,
Confronter a la bestialité de l’homme, je me suis détruite,
Le corps en friche, le cœur en berne,
Chaque sourire, chaque rire, n’était qu’illusion,
Ecorchée vive, les tripes a l’air j’ai sombré,
Puis cette petite voix qui me répétait toujours
Se qui ne tue pas renforce,
Sa ne tue pas sur le coup soit,
Mais a petit feu, sa bouffe le moindre bonheur,
Et on se bat contre l’éphémère horreur,
On ouvre des portes, des fenêtres sur la vie,
On toc a des cœurs, comme nous en berne,
Puis l’espoir renait, celui d’aimer sans nulle mesure
D’aimer jusqu'à en étouffer,
D’aimer jusqu'à se consumer,
D’aimer a verser des larmes de joie,
D’aimer a brasser l’air fleurie de jasmin,
D’aimer une âme un cœur comme le notre,
Et j’aime l’idée de t’aimer sans mesure,
Avec cette folie qui nous unies,
Parce que tu as reconstruit mon cœur, parce que tu as sue donner à ma vie les couleurs de l’amour, parce que j’aime faire de tes bras mon nid, je t’aime.
Commentaires
Bonsoir!
Texte magnifique encore une fois!
Bon week end!
Bisous
bonjour Coeur de tendresse,
Merci pour ta jolie visite.
J'étais déjà venue te lire, mais jamais je n'ai osé déposé, mes mots.
Tes écrits sont remplis d'émotions, merci pour ce beau partage.
Belle journée à toi.
Gros bisous
kikou tres joli douce journée bisous